Si vous aspirez à une place dans une institution de commerce ou bien d’ingénieurs, sachez que les langues sont une matière cruciale d’élimination à l’écrit ou à l’oral. La majorité des écoles utilisent leurs contacts cosmopolites et leurs apprentissages vers l’étranger pour que les futurs managers débouchent à la gestion interculturelle et aux réalités de la planétarisation.
Une matière obligatoire
Sur le fond, qu’on parle d’établissements scientifiques ou bien managériaux, le but des contrôles n’est aucunement différent. Ne croyez pas que les institutions d’ingénieurs ne sont pas aussi pointilleuses en termes d’examens linguistiques. Il est évident que les écoles de négoce mettent la barre assez haute, toutefois les scientifiques ne sont pas en reste. Les langues vivantes autorisées aux examens sont en principe l’anglais, l’allemand ainsi que l’espagnol, mais également de multiples autres langues. La majorité des institutions utilisent le QCM ou questionnaire à choix multiple. Pour ne citer, par exemple, que le test d’Anglais de l’examen Tremplin 1 qui est composé de 4 étapes se référant aux questions de structure, de syntaxe, de compréhension de texte, ou de lexique. Au postulant de reconnaître le bon item et de répondre à la question qui suit.
Réussir son épreuve
Voici quelques astuces pour réussir un concours linguistique. Pratiquez la langue en communiquant avec des étrangers, des proches, en écoutant des radios étrangères, en regardant des films en VO, en lisant des journaux internationaux ou en faisant des voyages linguistiques, le choix est vaste. Concernant la préparation de l’argumentation, la technique optimale reste les fiches sur les thèmes d’actus des derniers mois. Une fiche doit comprendre une argumentation de l’événement en répondant aux problématiques qui, quoi, quand, comment, pourquoi. Elle décline aussi quelques contextes économiques dans le genre de la situation géographique, la communauté et la monnaie, entre 20 à 30 mots de lexique et les formules idiomatiques capitales pour son exposé.