L’échec d’une orientation ne doit pas être ressenti comme quelque chose de négatif. Une erreur d’orientation doit être considérée comme un prétexte pour rebondir et repartir sur de nouvelles bases.
L’attitude à adopter
Le premier choix d’orientation était sûrement basé sur la spontanéité sans avoir pris réellement conscience des forces et des faiblesses relatives à une formation et un métier donné. Il faut mettre à plat tous ses souhaits, ce qu’on aimerait réellement faire, définir les activités qui nous ressourcent, cerner quelles sont les actions qu’on exécute sans peine. Face à nos aspirations les plus profondes, on doit être apte à séparer les actions qu’on fait spontanément et les actions qui nous passionnent dans lesquels on persévère. Etre en phase avec soi-même et ses propres convictions permet de déceler son propre parcours professionnel et de s’épanouir. Il faut également communiquer avec ses proches car plusieurs idées peuvent en découler.
Les différents contacts à consulter
Privilégiez les CIDJ ou Centre d’Information et de documentation jeunesse de votre quartier. Munissez-vous de vos objectifs afin de cerner avec la conseillère les diverses formations offertes dans le secteur d’activité de votre choix. Il faut spécifier la filière et chercher le niveau de vos centres d’intérêt. N’hésitez pas à rendre visite aux acteurs professionnels et à bénéficier de leurs conseils gratuits lors des journées portes ouvertes et des salons d’orientation. Vous serez renseigné par les responsables d’établissement et les étudiants présents. Ne négligez pas de consulter régulièrement les forums d’étudiants sur internet pour répertorier les divers témoignages qui vous seront d’une grande utilité. Face à une erreur d’orientation, l’essentiel est de reprendre ses recherches au plus vite car on aura déjà en tête quel type de formation et de métier ne nous correspond pas et on sera à même de mieux définir les attentes en matière de parcours professionnel.